«I can only imagine» raconte l'histoire de l'écriture du tube éponyme du groupe américain de rock chrétien MercyMe sorti en 1999. Le chanteur Bart Millard l'a composé à la mort de son père, après une enfance tourmentée. «I can only imagine» a été le titre chrétien le plus vendu jusqu'à aujourd'hui.

La réalisatrice américaine oscarisée, Debra Granik, raconte dans son nouveau film l’histoire de Will et de sa fille Tom. Alors qu’ils vivaient isolés dans une forêt, le père et la fille se font débusquer et doivent réapprendre à vivre en société.

La semaine se termine en même temps que la première édition du festival cinématographique LGBT + (lesbien, gay, bisexuel, transgenre et plus) du Bangkok Screening Room se termine à la fin de la semaine. Parmi les derniers films programmés : le drame tricolore, gagnant du Grand Prix du festival de Cannes l’an passé.

La Bangkok Screening Room, le Doc Club Theater, le Cinema Oasis et ChangChui Cinéma accueillent depuis lundi la semaine un festival du film allemand avec la projection de films récents de qualité. Pour ceux qui n’étaient pas encore au courant, pas de panique, encore quatre films sont programmés.

« Myn Bala : les guerriers de la steppe » a été réalisé pour marquer le vingtième anniversaire de l'indépendance du Kazakhstan de l'Union soviétique. Le film, parfois comparé à «Braveheart», célèbre avec patriotisme le Myn Bala : un groupe de jeunes guerriers qui ont résisté à l'occupation de Dzungar, prêts à tout pour libérer leur patrie bien-aimée. Les paysages du Kazakhstan sont à couper le souffle et les costumes remarquables.

Avant que les Khmers rouges ne s'emparent du pouvoir, le Cambodge était réputé pour sa culture cinématographique dynamique. Dans « The Last Reel », la réalisatrice Kulikar Sotho, première femme à diriger un film au Cambodge depuis 1970, a obtenu huit récompenses internationales.

Ce grand classique de 1984 décrit avec beaucoup de réalisme l’histoire de Nampu, un jeune homme d’une famille brisée par un divorce en quête d’une nouvelle vie. Mais il trouvera la drogue sur son chemin. Sa mère découvre son addiction profonde et sa descente vers la fin de sa vie...

« Walk with me » est le second film proposé par le Film Club du centre d’arts. Touchante et juste, cette histoire d’amour entre un ancien soldat amputé de ses deux jambes et une danseuse étoile fait vibrer les cœurs, tout en montrant les batailles vécues par les handicapés moteurs.

Le film de Benoît Jacquot brille par l’interprétation sensible d’Isabelle Hupert. Un film poétique et philosophique, où les silences jouent d’aussi grands rôles que les cris. Le drame inspiré du roman de Pascal Quignard remplit tous les critères d’un bon film français.

Mathieu Amalric propose un portrait sensible de la diva française avec ce film racontant la réalisation d'un film sur Barbara. Jeanne Balibar brille comme un diamant noir dans cette fascinante mise en abyme célébrant à la fois la dame en noir et la magie du cinéma.

L'attrait panoramique de « To Catch a Thief » réside dans la beauté des décors luxuriants et paradisiaques français, l'élégance bronzée d’un Cary Grant dans la force de l’âge et le calme froid de l'ingénue et chic Grace Kelly qui cache à peine des allusions de désirs assertifs et pervers.

The Work est un documentaire pénétrant sur une thérapie de groupe de quatre jours à la prison de Folsom en Californie. Les participants sont constitués non seulement de prisonniers, mais aussi d'hommes de l'extérieur qui veulent chacun assister aux sessions pour des raisons qui leurs sont propres.

Dessins animés, documentaires, drames... Neuf films français récents seront projetés au cinéma du centre commercial de Phrom Phong. Un rendez-vous pour les cinéphiles en mal du pays.

French Cancan est certainement l’un des plus beaux films français tournés en Technicolor, Tout y est féérique, le film transporte le spectateur par son esthétique. Chaque scène semble avoir sa couleur et donc son ambiance, comme autant de tableaux travaillés par un maître.

Pour l’ouverture du festival « The Invisible Hands », The wound a été choisi par Anucha Boonyawatana, réalisateur et écrivain de « Malila » qui a remporté le prix Kim Jiseok au Festival international du film de Busan 2017 et a été nominé aux 12èmes Asian Film Awards en 2018. Le film a été accusé d'insensibilité culturelle parce qu'il décrit des rituels d'initiation secrets.

Adaptée du roman de Shin Tendo « The Big Kidnapping », ce film à suspens raconte le kidnapping d’une vieille dame de 82 ans, Toshiko Yanagawa, la femme la plus riche de la préfecture de Wakayama, par trois criminels récemment libérés...