Le Conseil des droits de l’homme tiendra une session spéciale sur “les implications de la crise en Birmanie en matière de droits de l’homme” ce vendredi 12 février à partir de 10 heures à Genève. La session spéciale est convoquée à la suite d’une demande officielle soumise aujourd’hui conjointement par le Royaume-Uni et l’Union européenne, qui a été soutenue par 47 États jusqu’à présent.
Pour qu’une session spéciale soit convoquée, le soutien d’un tiers des 47 membres du Conseil – 16 ou plus – est nécessaire.
Cette demande a été appuyée jusqu’à présent par les États membres du Conseil suivants (19) : Allemagne, Autriche, Argentine, Bahamas, Brésil, Bulgarie, Danemark, France, Italie, Japon, Îles Marshall, Malawi, Mexique, Pays-Bas, Pologne, République de Corée, République tchèque, Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord et Ukraine
La demande a également été soutenue par les États observateurs suivants (28) : Australie, Belgique, Canada, Chypre, Croatie, Espagne, Estonie, États-Unis, Finlande, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Monaco, Norvège, Nouvelle-Zélande, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse et Turquie.
Il s’agira de la 29ème session extraordinaire du Conseil de droits de l’homme.