Trois roues, trois amis, cent vingt jours, vingt mille kilomètres et seize pays traversés ; les données chiffrées de L’Odyssée électrique (Editions Elytis) augurent une aventure pleine de rebondissements. Fraîchement sortis de leurs études, les comparses Karen, Ludwig et Rémy entreprennent une chevauchée singulière : relier en quatre mois la capitale de la Thaïlande à Toulouse, en tuktuk électrique.
À l’heure des appels pressants à la transition écologique, cet exemple mérite d’être médité. Baptisé «The Pilgreens», le projet de voyage en tuktuk électrique avait pour ambition de mettre la jeunesse à l’épreuve en se mobilisant autour des enjeux climatiques avec abnégation face aux difficultés, mais aussi de promouvoir le réel potentiel de la mobilité électrique.
Le récit de cette traversée est un éloge de l’aventure, avec ses soubresauts, ses déboires et ses interrogations liées au défi technologique.
Les kilomètres s’enchaînent à bord du trois-roues.
L’insouciance anime le trio qui prend à cœur cette odyssée électrique en ponctuant le parcours de conférences et de manifestations militantes en dépit des barrières culturelles et linguistiques.
Ils tenaient donc leur cause.
En voici les effets.
L’auteur, Rémy Fernandes-Dandré est né en 1992. Petit, il rêvait d’être vulcanologue l’été, et musher l’hiver.
Il passe une année d’études en Chine avant de faire un Master en management à l’IAE Toulouse, ainsi qu’une expérience dans le monde de la pub à Paris, où il vend du dentifrice pour les masses.
La suite ?
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À lire: «L’odyssée électrique» aux éditions Elytis