Notre confrère bangkokois Loïc Grasset, auteur de nombreux reportages en Asie du Sud-Est, a décrit sa quarantaine à l’arrivée en Thaïlande dans le quotidien Le Parisien. Il dit à la fois sa surprise, son énervement, et les moments de découverte de soi-même qu’une telle expérience implique. Pour ceux que la quarantaine intrigue, voici le mode d’emploi à travers son témoignage.
Son témoignage est mis en relief par Le Parisien. Loïc, expatrié en quarantaine à Bangkok affirme dans les colonnes du quotidien que «personne n’aurait envie de revivre cette expérience». Après un voyage en France, ce reporter installé à Bangkok a été placé en quarantaine, seize jours dans un hôtel de la ville. Une expérience «singulière» marquée par des moments d’ennui et de frustration.
En voici un extrait. Le reste de l’article est à découvrir sur le site leparisien.fr:
De retour d’un voyage en France, Loïc Grasset s’est aussitôt senti comme « plongé dans un film post-apocalyptique ». Expatrié depuis dix ans à Bangkok, ce journaliste de 52 ans a été placé en quarantaine, selon la procédure, après être rentré en Thaïlande, le 20 mars dernier. Un retour de vacances qui fut pour le moins brutal : « Dès l’aéroport, on est face à des gens en combinaison intégrale qui semblent avoir peur de vous car ils vous considèrent déjà comme potentiellement contaminés. On se sent un peu comme un pestiféré », décrit l’expatrié.
Très vite, Loïc sera conduit dans un hôtel choisi à l’avance, la quarantaine chez soi n’étant pas autorisée en Thaïlande. Au programme : seize jours (au lieu de dix en France) d’isolement dans une chambre de 40 m² à regarder le plafond, sans sortie ni visite autorisée. Une « expérience singulière », mais aussi un coût, souligne le reporter. « Pour les étrangers, ce séjour obligatoire n’est pas pris en charge par les assurances. Deux semaines à l’hôtel peuvent vous revenir entre 1500 et 4000 euros. »….
La suite à découvrir sur le site du Parisien…