L’appellation de «complotiste» employée par nos soins pour désigner le français Remy Daillet nous a valu un abondant courrier de nos lecteurs. Nous ne reviendrons donc pas sur ce terme que la justice française a toutefois repris dans son communiqué sur sa mise en examen mercredi 16 juin, après son arrivée en France en provenance de Malaisie, puis Singapour.
Rémy Daillet, extradé de Malaisie et en transit trois jours à Singapour, a été mis en examen le 16 juin pour complicité d’enlèvement d’un mineur de 15 ans commis en bande organisée, pour son implication présumée dans l’enlèvement de la petite Mia en avril dans les Vosges, a annoncé le procureur de Nancy
Mandat d’arrêt international
L’homme, qui a fait l’objet d’un mandat d’arrêt international, est soupçonné d’avoir orchestré l’enlèvement. Il est arrivé en France vers 6 heures mercredi accompagné de sa compagne enceinte et de ses trois enfants âgés de 17, 9 et 2 ans.
Rémy Daillet est la 11e personne mise en examen dans cette affaire.