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INDOCHINE – HISTOIRE : Un dossier d’Historia pour mieux comprendre « La belle colonie »

Journaliste : Rédaction
La source : Gavroche
Date de publication : 12/01/2022
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Revue Historia sur l'Indochine

 

« Quand l’Indochine était française (1856-1956) » est le titre du 900ème numéro de la revue Historia

 

Retour sur un siècle de présence française en Extrême-Orient, entre Siam et Chine, dans ce dossier réalisé avec les historiens Ivan Cadeau et Jean-François Klein. Une colonisation d’exploitation aux origines souvent aujourd’hui méconnues, la plus coûteuse et la plus âpre de toutes, qui n’a pas été uniquement un choc des cultures, mais aussi une histoire d’hybridation née pendant et après l’époque coloniale. Un monde disparu après la défaite française de Diên Biên Phu mais dont l’héritage est encore visible de nos jours.

 

Indochine… Ce nom qui aujourd’hui invite à la rêverie évoque l’Asie millénaire et enchanteresse où la France s’est établie, dans la sueur et le sang, entre Siam et Chine.Un monde englouti après Diên Biên Phu, dont subsistent pourtant des traces bien ancrées.

 

De 1856 à 1956, la France assujettit progressivement en Asie du Sud-Est plusieurs États et sociétés de la partie orientale de la péninsule indochinoise pour former un ensemble hétérogène et disparate qu’elle nomme « Indo-Chine » puis, à partir de 1909, « Indochine ». Insérés à la fois dans des logiques impériales ultramarines (la « France d’Asie ») mais aussi dans celles, économiques, sociales et culturelles, de l’espace spécifique formé par la mer de Chine méridionale, les acteurs de ce « moment colonial » qui dura moins d’un siècle transformèrent en profondeur les sociétés locales vietnamiennes, laotiennes et cambodgiennes, sans parler des populations minoritaires des hautes terres indochinoises.

 

L’Indochine servit aussi, bien souvent, de laboratoire aux administrateurs coloniaux et, en dépit du manque constant de moyens investis, elle fut souvent un champ de la modernité et le lieu d’expériences et de méthodes qui circulèrent ensuite dans l’Empire colonial français.

 

Pour se procurer en ligne la revue Historia, cliquez ici.

2 Commentaires

  1. Cet article est assez mauvais ; la présence française en Indochine remonte au roi Louis XIV ; il y eut à l’époque échange d’ambassadeurs ; il y a une rue de Siam à Brest et une rue de Brest à Bangkok. Il n’y a jamais eu de choc de culture, ni avec le Vietnam ni avec la Thaïlande ; tous ceux qui ont travaille avec des Vietnamiens et des Thaïlandais vous le diront. La guerre d’Indochine, qu i”aurait pu être évitée” (Breard de Boisanger), est un accident. Aujourd’hui l’ex-Indochine française est redevenue une dépendance de la Chine Populaire, et, dans une France revenue dans ses limites du 1er janvier 1792, les cartes d’identité sont bilingues car l’anglais est une langue que tout le monde comprend.

  2. L’Indochine française commence avec le roi Louis XIV ; le soi 35 a été baptise par la Thailande “rue de Brest”. Les choses se sont mal terminées parce que le roi a été mal servi voire trahi par de sous-ordres incapables. La France a du se réfugier au Vietnam. Elle a alors pris parti pour la dynastie des Nguyen ; le prince héritier a été reçu à Versailles en 1789. C’est la France qui a fonde la dynastie des Nguyen ; elle avait vu loin : le dernier empereur du Vietnam repose au cimetière de Passy (16e). Les choses se sont dégradées ensuite, par le faute de politiciens soumis a quelques princes russes, jusqu’à la crise de 1893. Les choses se sont arrangées ensuite grâce à notre grand ministre Delcasse. Le destin de l’Indochine résulte de la volonté du général de Gaulle de se constituer, par “le sang français verse sur le sol de l’Indochine”, un ‘titre éminent” face a la “malveillance des alliés” (1945). Or, à ce moment, le prince héritier de Thaïlande, qui parlait et écrivait le français couramment, circulait en France au volant de ses voitures préférées, une Salmson et des Delahaye ; l’avenir de la France en Asie était tracé.

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