Trois compagnies aériennes étrangères ont soumis la réactivation des vols internationaux vers l’aéroport international de Bali, I Gusti Ngurah Rai. Il s’agit de KLM Royal Dutch, Scoot Tiger Air et JetStar Airways.
“C’est un signe positif de la confiance de la part des compagnies aériennes internationales et des touristes pour voler et visiter Bali à nouveau”, a déclaré le président directeur de l’opérateur aéroportuaire de l’État Angkasa Pura I, Faik Fahmi, dans un communiqué publié le samedi 19 février.
Des vols par semaine réguliers
D’après le rapport, KLM Royal Dutch assurera 4 vols par semaine sur la route Singapour-Denpasar. Elle utilisera des appareils Boeing B-777 d’une capacité de 408 sièges. Scoot Tiger Air effectuera trois vols par semaine sur la même ligne, Singapour-Denpasar, avec un Airbus A-320 d’une capacité de 108 passagers.
JetStar Airways, quant à elle, effectuera trois vols par semaine sur les routes suivantes : Singapour-Denpasar, Sydney-Denpasar, et Melbourne-Denpasar. Pour Singapour-Denpasar, elle utilisera un Airbus A-320 d’une capacité de 180 passagers. Quant aux lignes Sydney-Denpasar et Melbourne-Denpasar, JetStar utilisera un Boeing B-788 d’une capacité de 335 passagers. Elle a également préparé des Airbus A-321/A-320 de 323 ou 186 sièges.
“Nous espérons que le trafic de passagers et les vols internationaux à destination de Bali seront progressivement augmentés et pourront soutenir la reprise économique du peuple”, a déclaré M. Faik.
Angkasa Pura I, a-t-il ajouté, continuera à mettre en œuvre le strict protocole sanitaire et à s’assurer que les opérations de toutes les compagnies aériennes atterrissant à l’aéroport de Bali respecteront les réglementations en vigueur. À ce jour, l’aéroport I Gusti Ngurah Rai accueille les vols internationaux de Garuda Indonesia et Singapore Airlines.
Le trafic de passagers internationaux à l’aéroport Ngurah Rai a atteint 639 personnes du 1er au 18 février. Avant la pandémie de Covid-19 en 2019, il a dépassé les 13,8 millions avec 73 886 mouvements de vols internationaux.
Remerciements à Jean-Michel Gallet
