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THAÏLANDE – SUISSE : Mais que se passe-t-il avec les Helvètes au Siam ?

Date de publication : 08/03/2024
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Police touristique Trang

 

Après l’affaire du scandale de Phuket, où un ressortissant suisse est accusé d’avoir molesté une doctoresse thaïlandaise assise sur le pas de sa porte, une autre affaire ébranle la réputation de tranquillité des citoyens de la Confédération helvétique.

 

A Trang, un ressortissant suisse de 62 ans, qui avait agressé physiquement une femme thaïlandaise dans un centre commercial, a en effet choisi de rester en détention malgré l’offre de libération sous caution de son ex-conjointe thaïlandaise. Le tribunal provincial de Trang avait fixé sa caution à 50 000 bahts (1 406 dollars).

 

Cependant, le Suisse a rejeté son aide et a exprimé son désir de rester en prison. Il a également fait preuve de résistance en refusant de communiquer avec l’ambassade de Suisse ou sa famille.

 

Hier, la police touristique a fait état de cet incident, indiquant qu’en cas de libération temporaire de Mr Straumann pendant les poursuites, elle avait demandé aux services d’immigration de l’empêcher de quitter la Thaïlande.

 

Le suspect s’est montré peu coopératif, refusant de répondre aux questions de la police ou de signer tout document reconnaissant les charges qui pèsent contre lui. Il est accusé d’avoir causé des blessures physiques graves et d’avoir désobéi aux autorités en raison de son manque de coopération.

 

La police locale a obtenu une ordonnance du tribunal pour sa détention de 12 jours mercredi.

 

Mr Straumann est accusé d’avoir agressé une femme de 58 ans, dans un magasin Big C. L’agression s’est produite lorsque celle-ci a demandé au Suisse d’être poli, ce qui l’a amené à la pousser et à lui donner plusieurs coups de poing. L’intéressée a eu le nez cassé, les yeux et le dos enflés et a eu du mal à respirer à la suite de l’agression.

 

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3 Commentaires

  1. Le droit au silence existe en Thaïlande et la police doit le notifier aux intéressés sauf qu’ils ne le font jamais et ce droit au silence inclut le droit à refuser de signer tout document.
    LA POLICE NE PEUT DONC REPROCHER UN MANQUE DE COOPÉRATION OU UNE QUELCONQUE RÉSISTANCE ça ne tient pas juridiquement.

    • Êtes-vous en quête de preuves supplémentaires, sous forme de clichés photographiques ou de déclarations de témoins, pour étayer les allégations d’un comportement violent attribué à cet individu ?

      Ce qui frappe par son cynisme est l’absence totale de compassion manifestée envers la victime. Est-ce à interpréter comme une marque de supériorité sociale que vous vous octroyez vis-à-vis des citoyens thaïlandais ?

      Vous évoquez que selon la législation thaïlandaise, toute personne suspectée bénéficie du droit de se murer dans le silence, y compris celui de refuser la signature de documents. Vous ajoutez néanmoins que “ce droit n’est jamais exercé et englobe également le refus de signer tout document”. Pouvez-vous appuyer ces dires par des preuves irréfutables ? En leur absence, vos propos pourraient tomber sous le coup de la diffamation et constituer un délit.

      Par ailleurs, vous affirmez que “la police ne peut légalement reprocher à un individu son manque de coopération ou toute forme de résistance”. Il convient de souligner que l’appréciation par la police du comportement d’une personne est intrinsèquement liée aux circonstances et que des conséquences juridiques sont susceptibles de découler d’un refus de coopérer. La législation prévoit en effet des dispositions pour encadrer les répercussions de divers comportements en contexte d’interaction avec les forces de l’ordre.

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