Le parti Move Forward (MFP) a sollicité une prolongation de 15 jours pour soumettre sa déclaration à la Cour constitutionnelle concernant une possible dissolution, a déclaré Nakarin Mektrairat, président de la Cour.
Cette demande fait suite à une requête de la Commission électorale acceptée par le tribunal le 3 avril, visant à dissoudre le MFP en raison de ses propositions d’amendements à la loi de lèse-majesté. La Cour avait alors fixé un délai de 15 jours pour la soumission de la déclaration, et Nakarin a indiqué que le tribunal se réunira le 17 avril, probablement pour accorder cette prolongation au MFP.
Il a clarifié que la base juridique de cette affaire est la loi organique sur les partis politiques, distincte de l’article 49 de la charte qui a été invoqué dans une précédente décision.
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