Découvrez le coup de cœur…de Carnets d’Asie à Phnom Penh

Gavroche publie chaque semaine, jusqu’au prochain sommet de la francophonie début octobre, les coups de cœur des librairies francophones en Asie. En partenariat avec leur Association présidée par notre ami Olivier Jeandel. Aujourd’hui : Carnets d’Asie à Phnom Penh.

Une librairie : Carnets d’Asie (Phnom Penh et Bangkok)

Installée depuis 2004 dans l’enceinte de l’Institut français du Cambodge, dans un espace de 75 m2 situé à l’entrée gauche de l’établissement et en plein centre-ville de Phnom Penh, la librairie Carnets d’Asie propose une offre généraliste sur laquelle viennent se greffer une nette orientation jeunesse et scolaire/FLE ainsi qu’une spécialité sur le Cambodge ancien et contemporain.

La librairie assure l’approvisionnement en livres des institutions françaises et francophones du pays khmer, ainsi que les commandes des particuliers installés sur le tout le territoire cambodgien.

Par ailleurs, Carnets d’Asie s’associe depuis toujours aux animations autour du livre mises sur pied en partenariat avec l’Institut français, notamment les conférences et rencontres organisées avec des auteurs dans l’auditorium, la médiathèque, le restaurant, mais aussi… la librairie ! Et cède fréquemment au plaisir d’ouvrir en nocturne à l’occasion de festivités et d’événements culturels très prisés.

Le coup de cœur : Concombres amers. Les Racines d’une tragédie : Cambodge 1967 – 1975 de Séra (Marabout, collection Marabulles)

Notre librairie de Phnom Penh est liée à l’œuvre de Séra. Nous nous sommes impliqués dans le lancement de tous ses albums consacrés au pays khmer. En particulier, lors de la parution de Concombres amers, nous avons arpenté ensemble le Cambodge et la Thaïlande pour assurer la promotion de ce « grand œuvre » consacré à la genèse de la tragédie cambodgienne, car Séra met son remarquable talent graphique aussi au service de l’Histoire. L’état actuel de ce pays à nouveau fortement inégalitaire, conséquence d’une transmission défaillante de l’histoire de la période khmère rouge aux jeunes générations, lui donne raison.

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