Nous reproduisons ici des extraits d’un article de Blick, dont nous vous recommandons la lecture sur leur site.
En Géorgie, des trafiquants d’êtres humains venus de Chine ont contraint une centaine de femmes thaïlandaises à se soumettre à des prélèvements d’ovules pendant plusieurs mois. Les ovules étaient ensuite revendus sur le marché noir. Une victime raconte l’enfer.
Cette affaire fait froid dans le dos. Une bande de criminels chinois a prélevé sous la contrainte les ovules d’une centaine de Thaïlandaises pendant des mois. Ceci par des méthodes invasives qui comportent des risques élevés pour la santé.
Trois femmes ont réussi à s’échapper. Lors d’un entretien avec le portail d’information thaïlandais «The Nation», l’horreur qui s’est déroulée dans un complexe de maisons en Géorgie remonte peu à peu à la surface.
Prélèvement d’ovules «avec des machines»
Après son sauvetage, l’une des femmes concernées a décrit l’horreur qu’elle a dû endurer. Na* est entrée en Géorgie via l’Arménie, où elle a été hébergée peu après son arrivée dans une maison avec environ 60 autres femmes, dont certaines étaient en très mauvaise santé.
L’intégralité est à retrouver sur le site blick.ch/fr.
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