La montée de l’extrême droite aux élections du Parlement européen ne devrait pas modifier radicalement l’approche économique de plus en plus affirmée de l’Union à l’égard de la Chine et des puissances économiques asiatiques, selon les analystes.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui est la favorite pour conserver son poste, s’est engagée à poursuivre ses efforts pour « réduire les risques » vis-à-vis de la Chine. Alors que les populistes de droite sont considérés comme plus favorables à Pékin, les fissures au sein de ce bloc reflètent la position divisée des capitales européennes à l’égard de la Chine. Selon les analystes, le poids accru de la droite risque de centrer les relations de l’UE avec la Chine davantage sur la protection commerciale que sur les droits de l’homme et les valeurs.
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