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Home Accueil ASIE – FRANCE : Anne Genetet répond aux questions de Gavroche

ASIE – FRANCE : Anne Genetet répond aux questions de Gavroche

Date de publication : 24/06/2024
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La députée sortante des Français d’Asie Anne Genetet a répondu à Gavroche. Nous avons adressés les mêmes questions aux candidats déclarés pour la 11 circonscription des Français de l’étranger.

 

Cette circonscription géographique est immense. Quelle importance accordez-vous à l’Asie du Sud-Est ?

 

Anne Genetet : En effet, la 11e circonscription des Français établis hors de France compte 49 pays d’Asie, d’Océanie et d’Europe orientale. C’est la plus vaste circonscription législative française ! Les 11 pays d’Asie du Sud-Est (Birmanie, Brunei, Cambodge, Indonésie, Laos, Malaisie, Philippines, Singapour, Thaïlande, Timor oriental, Vietnam) représentent un peu moins du quart des pays de la circonscription et plus du tiers des Français de la circonscription.

 

Le monde a basculé vers l’Asie, c’est une évidence démographique, économique et écologique. C’est donc une nécessité pour la France d’y être plus présente politiquement, diplomatiquement et économiquement.

 

J’attache d’autant plus d’importance à l’Asie du Sud-Est que je vis à Singapour depuis 2005. J’ai toujours été très investie dans la communauté française locale, avec la volonté d’aider et d’être là pour les autres. J’y ai travaillé et je m’y suis déplacée tout en ayant de nombreux engagements citoyens : associations de parents d’élèves, foyer d’hébergement pour travailleurs migrants, association d’émancipation de femmes en situation de précarité économique, etc.

 

Depuis ma première élection en 2017, je me suis beaucoup rendue en Asie du Sud-Est. J’essaie à mon échelle de développer une véritable diplomatie parlementaire. C’est aussi important pour faire avancer les situations qui concernent les Français dans la région ou encore sur les sujets de défense qui me préoccupent particulièrement. Je me suis aussi engagée en faveur de la démocratie en Birmanie, notamment en faisant voter à l’Assemblée nationale une résolution pour dénoncer le coup d’État de la junte militaire.

 

En quoi serez-vous engagés à défendre les Français qui vivent dans cette région, et particulièrement les Français de Thaïlande ?

 

En janvier, j’étais encore en Thaïlande, où j’ai rencontré des représentants de la communauté française mais aussi des parlementaires thaïlandais, puis j’ai participé à la visite du Premier ministre du Cambodge en France. Oui, la France est plus que jamais active dans le développement de ses coopérations avec l’Asie du Sud-Est.

 

Les défis pour favoriser la mobilité internationale restent nombreux. En 2018, j’avais remis au Premier ministre Édouard Philippe un rapport sur la mobilité internationale des Français dans lequel j’avais formulé 215 propositions pour améliorer la vie quotidienne et la mobilité internationale de nos compatriotes à l’étranger : fiscalité, protection sociale, simplification administrative, retour en France, etc. Si beaucoup a été fait, une partie des défis reste à relever.

 

Nous devons aussi remettre à plat le modèle de la Caisse des Français à l’étranger. Sa situation est préoccupante. Un audit de l’Inspection Générale des Affaires Sociales doit être mené. Je suis d’ailleurs à l’initiative de cette demande. Je continuerai de défendre la CFE car c’est la protection santé de milliers de nos compatriotes qui est en jeu. Le problème est complexe, il n’y a pas de solutions faciles. Le «yakafokon» de mes opposants, ce sont des gesticulations qui ne fonctionneront pas. Le modèle économique de la CFE – qui date de 1978 – doit être adapté aux nouvelles réalités des Français à l’étranger et des entreprises françaises.

 

Ces dernières années, j’ai toujours alerté sur la situation de la CFE, y compris en m’opposant au changement de zonages des assurés de plusieurs pays de la circonscription comme la Thaïlande qui paient les pots cassés d’une mauvaise gestion. A ce stade, il faut quand même rappeler qu’il s’agit d’un organisme de droit privé dont le Conseil d’administration – dont les parlementaires ne sont pas membres – est présidé par une élue du Front dit « Populaire ». Elle n’a jamais cherché ni à m’informer, ni à me concerter sur ces changements brutaux pour les assurés et encore moins à me faire part de solutions possibles. Chacun jugera…

 

Autre sujet qui préoccupe notre communauté, c’est la double imposition. Je suis cela de près. J’ai demandé à nos équipes consulaires des informations à plusieurs reprises ainsi qu’au cabinet du Ministre. Les relations avec la Thaïlande n’ont jamais été aussi bonnes. C’est pourquoi j’avais alerté le cabinet du Président de la République sur ce dossier en amont de la visite du Premier ministre de Thaïlande en France le 16 mai. Je devais rencontrer l’Ambassadeur de Thaïlande en France pour lui faire part des préoccupations de notre communauté. Tout cela a été mis entre parenthèses avec la dissolution. Ma position est simple. La convention qui lie nos deux pays doit être respectée point. Sur ces différents sujets, malheureusement le temps administratif, voire diplomatique n’est pas celui du politique. Ceci étant dit, nous avons une équipe diplomatique et consulaire remarquable à Bangkok. Notre communauté peut compter sur eux.

 

D’une manière générale, nos communautés ont aussi besoin d’être davantage accompagnées et notre diplomatie doit s’appuyer bien plus sur elles. Aux prises avec la transformation des rapports de force internationaux et l’émergence d’enjeux transversaux structurants, j’ai ainsi toujours plaidé, dans mes interventions à l’Assemblée nationale et ailleurs, pour que notre diplomatie se tourne davantage vers l’Asie, où se trouvent les moteurs de la croissance mondiale présente et à venir.

 

Enfin, je défends les Français vivant en Asie du Sud-Est en les alertant sur des projets dogmatiques de nos opposants qui veulent par exemple augmenter la CSG de 25%, ce qui aura des conséquences pour les retraités ou encore concernant la menace de l’impôt universel basé sur la nationalité proposée par les partis politiques de gauche. Ce serait une injustice majeure. Je plaide au contraire pour une fiscalité équitable des non-résidents, avec des règles d’imposition plus claires, un accès pour des biens immobiliers situés en France à des aides et niches fiscales liées à la transition écologique modulées selon les revenus et, de manière plus générale, pour une baisse de la pression fiscale pour le plus grand nombre. Tout le contraire du choc fiscal de plus de 50 milliards promis par la gauche dès cet été. Une pure folie !

 

Dans quel groupe siégerez-vous à l’Assemblée nationale, si vous êtes élus ? Et quelles seront vos priorités de députée ?

 

Les déclarations politiques des groupes, signées de leurs membres, seront remises jeudi 18 juillet, jour d’ouverture de la nouvelle XVIIe législature. Je prévois de siéger parmi le groupe qui remplacera le groupe “Renaissance” auquel j’appartenais pendant la XVIe législature. Avec mes anciens collègues et amis candidats Renaissance, nous nous engageons à 100% – et même un peu plus ! – dans la campagne électorale pour que notre futur groupe soit celui dont l’effectif reste le plus nombreux.

 

Si les Français de la 11e circonscription des Français de l’étranger me renouvellent leur confiance, je m’efforcerai de mener une action efficace pour obtenir des résultats sur quelques besoins essentiels prioritaires, comme la simplification administrative, la protection sociale dont le dossier de la CFE mais aussi le commerce extérieur qui est clef pour la réindustrialisation de la France et pour nos entrepreneurs à l’étranger.

 

Quels seront les moments marquants de votre campagne dans les trois semaines à venir
Il s’agit d’une campagne éclair. Je m’efforce de faire passer des messages, d’être disponible pour nos concitoyens et répondre à leurs questions. J’ai animé une réunion publique le 20 juin à Singapour. J’essaierai de me rendre dans d’autres pays dont Hong Kong et proposerai une visioconférence en début de semaine prochaine. L’organisation d’une telle campagne est rendue difficile car le délai est très court, y compris pour les nombreuses démarches administratives. J’invite vos lecteurs à me suivre sur les réseaux sociaux ou à aller visiter mon site : www.annegenetet2024.fr où je résume mes propositions.

 

Je suis très touchée par l’élan des soutiens depuis l’annonce de la dissolution. J’ai immédiatement reçu de nombreux soutiens, aussi bien au niveau local que national. J’ai de très nombreux soutiens parmi les Conseillers des Français à l’étranger. J’ai d’ailleurs demandé au président du Conseil consulaire de Singapour, M. Remi Provendier d’être mon suppléant. J’ai aussi reçu de nombreux messages de soutien d’électeurs qui ne se résignent pas à voir leur pays succomber aux passions tristes mais veulent comme moi une France conquérante, à l’avant-garde dans la mondialisation.

 

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3 Commentaires

  1. Un grand merci, pour votre incompétence !
    Restez à Singapour pour y faire votre shopping.
    Ni la macronie, ni même Renaissance.
    bonne journée.

  2. Madame Anne Genetet ment. Depuis sept ans, elle n’a rien fait pour la CFE ; au contraire, la situation s’est dégradée. Je ne suis pas de gauche, je suis gaulliste et républicain. Que fait l’État pour aider la CFE ? Rien. Et maintenant, elle accuse la Présidente de nous torpiller à la CFE. Alors, je lui pose une question : qu’a fait Alain-Pierre Mignon avec sa majorité avant elle ? C’est de la mauvaise foi totale. Je ne voterai pas pour elle. Transmettez svp

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