L’institut national des langues et civilisations orientales est-il en proie à une montée inquiétante d’antisémitisme sur son campus ? C’est en tout cas ce qu’affirme le Journal du Dimanche dans un article récent.
En voici un extrait :
Antisémitisme à l’Inalco : tensions autour du conflit au Proche-Orient
Inquiet de l’importation du conflit entre ses murs, l’Institut national des langues et civilisations orientales a pris des mesures pour désamorcer la crise.
L’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) rejoint le cercle des établissements supérieurs pris dans la tourmente, après Sciences Po, Dauphine ou la Sorbonne. Depuis plusieurs mois, l’université du 13e arrondissement de Paris est le théâtre de tensions autour du conflit au Proche-Orient. Graffitis proclamant « Long live the intifada » sur les murs, accusations de « génocide » ou de « violences sexuelles commises par l’armée d’occupation sioniste », distribution de gazettes mensuelles intitulées Voies décoloniales, organisation d’assemblées générales où l’on scande « Soutien au peuple palestinien contre Macron et son monde » : autant de symboles qui témoignent de la sensibilité des étudiants à cette guerre qui se joue aussi sur le terrain des idées.
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Les trois établissements cités ne sont que les exemplaires les plus emblématiques de la gangrène antisémite qui s’est emparée des universités françaises. Un anti-sionisme forme « chic » de l’antisémitisme « universitaire » instrumentalisé à la sauce « anti-macron » et son monde ». Jusqu’où ira t-on ? Décliner les slogans du Hamas « du fleuve à la mer »… « Éradiquer » l’enseignement de l’hébreu » de l’INALCO ? Y a t-il une direction dans cet établissement ? Ah oui ! Il a pris des mesures …. pour ménager la « sensibilité des étudiants « …