Nous reproduisons ici des extraits d’un article de Blick, le média suisse dont nous vous recommandons la lecture sur leur site.
Les sanctions prises contre le régime militaire birman «ont un impact», selon le rapporteur spécial de l’ONU Thomas Andrews. Il se dit aussi opposé à un couloir humanitaire depuis la Thaïlande.
«Les sanctions perturbent» les ressources des autorités à la tête du pays depuis le coup d’Etat d’il y a trois ans, a affirmé mercredi à la presse à Genève l’expert indépendant Thomas Andrews, qui ne s’exprime pas au nom de l’ONU. Devant le Conseil des droits de l’homme mardi, il s’était félicité de la diminution de près de 85% des envois d’armes depuis des entités établies à Singapour en un an, après sa dénonciation de ces acheminements.
«Ce n’est pas suffisant», affirme-t-il, alors que la Russie et la Chine sont les principaux vendeurs. Il appelle à collaborer sur ces sanctions et à «couper» les capacités des militaires d’acheter cet armement.
L’intégralité est à retrouver sur le site blick.ch/fr.
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