La représentation supposée de la cène dans la cérémonie d’ouverture des jeux olympiques, en déclenchant les polémiques, est très instructive et ses effets plutôt inattendus.
La religion catholique étant très iconophile, contrairement à d’autres (la fameuse querelle des images), les images représentant les scènes de l’évangile ou de la bible ont proliféré et envahit l’imaginaire occidental et au delà, chrétien. L’image est davantage susceptible de se prêter au détournement dans le sens parodique ou à tout le moins ironique. Ce qui fût le cas lorsqu’il s’agissait de critiquer une religion et un clergé dominants hostiles à la critique et à la liberté d’expression. Quelle est l’actualité du débat dans la France aujourd’hui ? La culture pop en usa abondament surtout à propos de certaines icônes politiques, de Mao au Che, mais la dimension décorative se substituant à la dimension religieuse, encore qu’existent des religions politiques.
La Cène qui aurait été inspirée du tableau d’un peintre néerlandais Jan van Bijlert réalisé vers 1635-1640, se situe dans cette veine. Il est à noter que l’ironie, dans ce tableau, opère par superposition. La cène classique figure en deuxième plan du tableau, la scène bachique, un substitut mythologique de la cène figurant au premier plan. Un topos classique pour signifier une généalogie des mythes et une forme de critique religieuse. Le christ étant un nouveau Dionysos (Bacchus), mais on en a aussi fait un nouvel Apollon, dieu solaire, une opposition classique…
Dans le tableau qui nous été donné d’admirer, l’arrière plan expose un christ et des compagnons en “drag-queens”. Là est l’innovation supposée progressiste et révolutionnaire et surtout potache de cour de récréation d’un établissement catholique du génial “metteur en cène”. Est-ce si nouveau ? En 1999, un photographe israélien, Adi Ness, nous propose une version de la cène, “the last supper”, dans iconographie explicitement gay. La scène nous montre 14 militaires de Tsahal, disposés autour de la table du dernier repas dans une scène gay transparente. L’inspiration homophile qui caractérise ses photos emprunte beaucoup à une veine caravagesque comme le peintre néerlandais van Bijlert.
La scène de l’ouverture des JO transforme les personnages de la cène en drag queens. Là est l'”innovation” et l’origine de l’avalanche des réactions : “blasphème” de la part d’une France réactionnaire, homophobe, celle du RN d’un côté, une atteinte à la liberté d’expression et une critique portée contre une France ouverte et inclusive de l’autre. L’opposition des deux France réactivée par la cène. Du côté catholique certains passages de l’évangile sur l’accueil des prostituées auraient pu être mobilisés et tempérer la critique dans un sens plus évangélique. Des divisions également au sein des sensibilités chrétiennes, la représentation pouvait également pour certains signifier la nécessité de considérer avec plus d’ouverture et d’inclusivité le sort fait aux “minorités sexuelles” considérées comme parias par une partie traditionnelle d’entre ainsi que des institutions. Cette approche ne semble pas avoir été empruntée, les paroles du christ à l’égard des prostituées et de leur accueil auraient les y engager…
Au delà de l’instrumentalisation politique et idéologique, et par un effet collatéral que produit nécessairement la parodie on n’aura jamais autant parlé de catholicisme qu’à, l’occasion de ces jeux. Incidemment les visites au musée Magnien de Dijon ou le tableau de Biljert est exposé à connu une affluence passant de 150 à 150000 visiteurs du jour au lendemain. Un regain éventuel de curiosité pour les traditions religieuses catholiques et leurs expressions artistiques ? Quant au nombre de conversions que cette cérémonie aurait entrainé, attendons les statistiques…

Le clou de la “cérémonie” d’ouverture des JO me parait avoir consisté dans une fascination hallucinée et obsessionnelle pour la décapitation érigée en art français. Un tropisme pour le sanglant. Le spectacle de Marie Antoinette portant sa tête sanglante n’est pas la seule manifestation du genre. Un autre lieu parisien, un peu secret, exhibe la même scène : Il s’agit d’une statue de Saint Denis qui porte sa tête et qu’on peut voir dans le discret square Suzanne Buisson, dans le XVIIIème arrondissement de Paris. Dans les deux cas nous avons une “céphalophorie. Les JO ont été l’occasion d’en fournir un nouvel exemplaire, la reine, guillotinée n’ayant pu récupérer sa tête tombée dans le panier de son et la tenir. Elle a été brandie mais par un bourreau et par les cheveux et exhibée en trophée. L’épisode de Saint Denis remonte à la persécution des chrétiens et du martyre qu’ils pouvaient endurer. Saint Denis, évêque de IIIème siècle eut la tête tranchée et la “Légende dorée” (Jacques de Voragine, la légende dorée rédigée entre 1261 et 1226) nous dit qu’il marcha en la tenant dans ses mains jusqu’au sommet du Mont des Martyrs (Montmartre tenant son nom de cette légende, mais pour d’autre de Mont de Mars, dieu de la guerre et divinité romaine). Saint Denis fût à l’origine d’un culte dynastique français à partir des Carolingiens puis des Capétiens. Ses reliques, réelles ou supposées après des pérégrinations diverses furent déposées dans l’actuelle basilique de Saint Denis, haut lieu de l’histoire de la France monarchique et moderne.
Cet édifice abrite notamment les rois de France et symbolise un lieu- culte du pays, de ses traditions monarchiques mais désigne aussi l’un des socles de la nation à la construction de laquelle les monarques successifs ont contribué… A. De Tocqueville, dans “L’ancien régime et la révolution,” (1856) livre II chapitres 8 et 9, dira que les traits de continuité entre la France de l’ancien régime et celle qui suivit prédominent sur la rupture révolutionnaire. Continuité dans l’édification d’un État centralisé, en particulier son administration, qui en est le garant et que la révolution perfectionnera et qui constitue aujourd’hui encore le fondement de l’État et de nos institutions.
Une continuité dans les symboles que nos artistes et metteurs en scène auto-proclamés ont sans doute ignoré, absents sans doute à leurs cours d’histoire ou quand le professeur absent n’a pas été remplacé.
Mais on ne peut invoquer une entière ignorance qui, si elle incombe en partie à l’effondrement de notre système scolaire, ne peut être invoquée quant la “cérémonie de la décapitation” avait été “jouée” , il y a peu, à deux reprises et qui ne peut manquer de produire un écho funeste: : la décapitation d’un de nos professeurs par un islamiste radical et la tête décapitée en effigie d’un ministre servant de ballon qu’un député LFI frappe du pied en guise de ballon. La scène de la conciergerie et les deux autres ne peuvent manquer de rappeler les décapitations pratiquées et exhibées par les groupes islamistes en Syrie et en Irak et ressusciter les pires cauchemars.
Alors la question du sens à donner à cette exhibition, et au message transmis par cette scène présentée à une cérémonie d’ouverture des jeux olympiques reste posée. Décapitons, il en restera toujours quelque chose…

Entièrement d’accord avec votre analyse : le spectacle était beau, original, mais la France a d’autres choses à montrer que cette partie sombre et violente de son passé.
Gérard Caucheteux dans les Hautes Alpes

Bonjour, la culture en France c’est l’apanage de la gauche, les épisodes wok, anti clérical, et la reine décapitée, c’est l’extase pour eux, et avec la bénédiction du pouvoir actuel.

Que Marie-Antoinette fût un objet de détestation est incontestable du point de vue révolutionnaire et surtout lorsque les armées des monarchies voisines se coalisèrent. Elle fût qualifiée d'”autri-chienne” (elle était la sœur de l’empereur d’Autriche) et affublée de toutes les ignominies réunies. Le roi, son époux, échappa aux critiques relatives à de supposées mœurs dissolues, à ses dépenses folles. Le narratif bien ancré ressort périodiquement comme leitmotiv de la critique du pouvoir. Au contraire du roi, le mauvais époux, à qui il lui fût reproché de rester de “marbre” dans le lit conjugal et de ne s’intéresser qu’à la chasse et aux serrures. La naissance du dauphin finalement vint, mais si tardivement, mais enfin, et son devoir de chrétien était sauf.

On considéra que la France devait être lavée par le sang répandu et l’élimination du “sang impur”. Dans les* parodies de justice” qui condamnèrent la reine et le roi, celui-ci ne dût sa mort qu’à une voix près, 361 voix pour, 360 voix contre. La tête de la reine devait nécessairement suivre, l'”emballement révolutionnaire s’accentuant et se radicalisant dans le sang répandu. Le procès de la reine qui dura 2 jours fut, comme celui du roi et tous les guillotinés, le brouillon des futurs procès staliniens dans lesquels le rituel judiciaire (Fouquier-Tinville en Vichinsky) n’était qu’un faire-valoir de l’assassinat pur et simple (E. de Waresquiel : “le procès de Marie-Antoinette”, in “cahiers de la justice” 2020 n° 1 pages 139 à 151, disponible sur le site CAIRN)
Cette détestation fût associée à celle de l’église catholique dont on critiqua plus les fastes, une réplique des critiques adressées à la cour plus que les dogmes qui furent certes la ligne de tir d’une partie de la pensée des lumières (et plus tard, Marx pour toutes les religions, Netsche pour la religion chrétienne) dont des ecclésiastiques (abbé Meslier). Mais c’est oublier le rôle que jouèrent les curés dans la révolution, un rôle non négligeable sans lequel nos petits “mutins de panurge” d’aujourd’hui ne pourraient s’exprimer.

Un aristocrate anonyme exprima l’opinion selon laquelle “ce sont les curés qui ont fait la révolution”. Sans pour autant exagérer, remarquons qu’aux États généraux, le clergé est représenté par 291 députés sur 1139 dont plus de 200 sont des curés, donc du “bas-clergé”. Seuls 46 évêques vont siéger. La plupart d’entre eux sont pour le “changement”. A partir du 5 mai 1789 alors que que le Tiers résiste de plus en plus aux décisions du roi et aux pressions de la noblesse et du haut clergé, le rôle des curés du bas clergé devient décisif. Le 12 juin, à l’initiative de Mirabeau, 3 puis 16 curés quittent leur ordre pour le Tiers. “Nous sommes vos égaux, nous sommes des citoyens comme vous” dira le curé Jallet dans un cri de ralliement.

Le 17 juin, c’est sous l’impulsion d’un abbé, Emmanuel-joseph Sieyes, que les États Généraux sont transformés en Assemblée Nationale. Le 20, c’est le Serment du jeu de Paume, le clergé s’unit au Tiers alors que la noblesse choisit le camp du roi. L’abbé Siyes et l’abbé Grégoire joueront un rôle essentiel dans la résistance aux prélats attachés à leurs privilèges consacrés par l’ancien régime…

Le clergé, la religion catholique, la monarchie dont la quintessence est résumée dans la reine honnie constitue, c’est un fait, un “lieu commun” de la geste révolutionnaire dont on attendait un effet de légitimation du nouveau régime. La IIIème république l’adoube bien que frileuse sur les exactions, mais la “révolution est un bloc dont on ne peut rien distraire ” dira Clemenceau, on ne peut écarter les mauvais morceaux. La révolution bolchévique la glorifiera et l’imitera dans ses plus mauvais côtés.

Actuellement, le narratif “ressuscité” (si l’on peut dire), semble servir dans la confusion wokiste à délégitimer un fascisme imaginaire, déconstruit et reconstruit et dans son sillage un narratif d'”extrême-droitisation” érigé en péril suprême et, paradoxalement vouloir le ressusciter, le faire advenir… en tout cas vouloir ressusciter le penchant pour les buveurs de sang à la faveur de “metteurs en cène” bien malsaine, reconvertis en révolutionnaires en peau de lapin… faut-il y voir un symptôme de la période actuelle et les prémisses d’un futur ?

On ne peut s’empêcher de rappeler les analyses de René Girard sur le bouc émissaire aussi bien que les analyses freudiennes sur le meurtre du père dans “Totem et tabou” (S. Freud “Totem et tabou”, 1912, disponible sur le site de l’université du Québec, UQAC et d’Élisabeth Roudinesco : “Freud et le régicide : éléments d’une réflexion, in “revue Germanique Internationale”, 2000, n°, pages 113 à 126, disponible sur internet sur “OpenEdition Journals”

C’était super, génial, créatif, coloré, multi culturel, audacieux, dynamique, certes un peu déjanté… avec des références au passé et à plein de petites choses qui finalement sont Françaises… (les mignons…- perso je ne savais pas qu’ils avaient été créés par des Français). Cela nous a promené dans le temps dans l’espace, dans l’histoire, dans la réalité dans l’olympisme, dans le sport, dans tellement de choses.

C’était bien. Très bien, fantastique. Peu importe que les nationalistes et les racistes n’aient pas appréciés. La diversité des individus, des genres est une réalité, pas uniquement française mais dans le monde. N’en déplaise à certains. La nature ne vous demande au moment de la conception pas si vous souhaitez une chimie (féminine) dans votre enveloppe (masculine) ou l’inverse.

On est dans la critique permanente. Les français ne savent faire que cela en fait.

Il y a bien longtemps que la France ne nous avait pas offert un tel spectacle.

PS: je suis apolitique, pas LGBTXYZABCDEF…, je n’appartiens à aucun organisme qui m’aurait dicté comment apprécier cette ouverture. J’ai laissé mes yeux et mon esprit ouvert et je me suis abreuvé des images… et délecté…

Frank

Noémie Klein avait théorisé la stratégie du choc. Mais le choc d’aujourd’hui est la normalité de demain, selon une stratégie de l’accoutumance et de la dépendance. A l’étape suivante la dose doit être plus forte…
La prochaine étape ? Notre dame de Paris enfin ouverte en grande pompe et pour saluer la nativité, une “cérémonie” revisitée par un metteur en scène innovant, inventif, créatif et post-wokiste : Marie en mère porteuse, exposant son enfant venant de naitre, exposé sur sa couche en carton recyclé prêtée par la cité olympique. Elle exulte, “exultate jubilate”, à la vue de la couleur noire de la peau du nouveau né. En s’approchant un peu on découvre que le nouveau né n’est pas pourvu des organes qui l’assigneraient à un genre, mais non plus à un autre. Il est est d’une nature “transcendantale”. Au diable Philippe Katerine ! La mère porteuse offre le “fruit de ses entrailles” à son père “gay”, plus précisément “LGBTQIA +++” en instance de divorce d’avec son conjoint. C’est pourquoi il est seul. Le bœuf et l’âne rafraichissent le nouveau né de leurs haleines, le réchauffement climatique rendant le température difficilement supportable en plein hiver pourtant. A l’occasion de cet évènement, ils prennent la résolution de ne plus s’alimenter que par les procédés idoines limitant la fréquence de leurs pets et de contribuer ainsi à la limitation du gaz carbonique dans l’air. Pendant ce temps des images passant en boucle nous montrent la fureur du roi Hérode, nommé “roi des juifs” et les flots de sang des nouveaux nés, les innocents massacrés. Ce roi ne veut pas de concurrent potentiel. Au fond de la scène, que l’on doit désormais écrire seine, des armées d’anges transgenres volettent embarqués dans une walkyrie infernale par la fille de lady gaga. Un hologramme de Céline Dion débite en boucle, “les anges dans nos campagnes, ont entonné l’hymne des Dieux, etc “

Je viens par ce courrier vous remercier de votre GAVROCHE , qui est toujours très bien rédigé et par ce fait nous informer parfaitement de la Thaïlande et de ses pays environnants .
Je vis 4 mois par an en Thaïlande, et de mon petit coin en France , je suit parfaitement les événements d’un pays que j’apprécie depuis plus de 20 ans .
Encore merci pour votre rédaction .
Mr Trobat Patrick
Uzès France

Bonjour à toute l’équipe,

Depuis la France, nous ne sommes pas encore remis des divers épisodes

choquant de la cérémonie d’ouverture…

Votre analyse est très bonne !

Que dire encore de l’affront volontaire fait aux chrétiens avec cette copie

de tableau ridicule et tristement honteuse….

Les grandes réactions à travers le monde et chez nous montre bien

que cette cérémonie n’a pas respecté la Chartre des J.O.

C’était une mise en scène idéologique et politique… Malheureusement

les superbes moments ont été noyés par la laideur provocatrice.

Bien à vous. Pop khan maï

Khon français thi kheï you prathet Thaï song pi kha.

Bonjour et sawasdeekrap – non je n’ai pas regardé la cérémonie d’ouverture des JO par Manu-Jupiter 1er mais j’ai vu quelques photos et quelques passages, oui j’ai trouvé indécent le passage de la décapitation de Marie-Antoinette surtout qu’il y avait quelques têtes couronnées présentes, pas de problème pour les Anglais ils ont fait pareil avec Anne de Boleyn et Charles 1er – oui j’ai trouvé indécent le passage avec les drags queens, je n’ai rien contre les LGBT chacun faisant ce qu’il veut de son « Q », que l’actuel Premier Ministre soit ouvertement homo, c’est son problème, que le ministre des affaires étrangères soit ouvertement homo ET ancien amant du Premier Ministre, cela ne me choque pas, qu’une ministre (maghrébine) soit ouvertement lesbienne et fasse une PMA, cela ne me choque pas, que Manu soit marié avec une femme de l’âge de sa mère ne me choque pas – la Légion Étrangère m’a appris que l’on ne doit JAMAIS se moquer de la couleur, de la nationalité ou de la religion des autres personnes – nous sommes des VRAIS frères d’armes – on peut rire de tout mais pas avec tout le monde – oui j’ai trouvé indécent le repas avec Charly et Camilla qui « aurait » coûté 6 millions d’€, oui je trouve indécent que cette cérémonie ait coûté 122 millions d’€, oui je trouve indécent tout cet argent donné à l’Ukraine tout cela pour « lécher » le « Q » des ricains et de la commission européenne alors qu’en françarabia (pays riche) il y ait des français qui ne mangent pas à leur faim, oui je trouve indécent que tous ces étrangers aient plus de droits que moi, oui je trouve indécent de payer la sécurité sociale alors que je n’y a pas droit SAUF si je rentre en françarabia mais il y a 19 ans que je ne suis pas rentré et 38 ans que j’ai quitté ce « pays » et si Yavé Allah ou Bouddha le veulent j’espère ne plus jamais y retourner – pour me prendre un coup de couteau pour avoir refusé une cigarette ou pour tout autre fait d’insécurité et il y a tellement d’autres choses tout aussi indécentes – ce sera suffisant pour aujourd’hui – Non je ne suis pas raciste juste xénoph

Madame, Monsieur,

En réaction à votre édition de 29/07 du Gavroche, comme vous le proposez, permettez-moi de réagir à la cérémonie d’ouverture des JO, cérémonie que j’ai suivie avec beaucoup d’intérêt, comme des millions d’autres spectateurs.
D’une manière générale, je l’ai trouvée assez décevante, mais la finale l’a ramenée à un score plus honorable. En quelque mots :
Parade sur la Seine : Très belle innovation mais qui a enlevé une part du cérémonial qu’ont les parades dans un stade. Mais, dans l’ensemble c’est, peut-être, un des objectifs des organisateurs
Certains tableaux (French Cancan, danseurs sur les berges) étaient certainement invisibles pour les 360.000 spectateurs présents sur les berges
J’ai bien aimé le tableau de la conciergerie même si le style métal se marie mal avec le cadre, mais enfin, pourquoi pas.
Le tableau de Marie-Antoinette chantant « ça ira » n’est effectivement pas du meilleur goût, mais sur le milliard de spectateurs, peut ont fait le lien, je pense
Le mélange de la Garde Républicaine et d’Aya Nakamura : fort peu approprié. Irrespectueux pour la garde républicaine. Que cette dernière joue « plus moderne » n’est pas une mauvaise idée, mais les deux styles ne se marient pas, je trouve. Le salut « militaire » à la fin ressemble plus à un pied de nez
Lady Gaga en Play Back: manque de respect pour les spectateurs venus sur place
Tableau de la Cène : tout à fait inapproprié, irrespectueux et a atteint un sommet du ridicule avec Philippe Katerine. Inacceptable !
Idée de faire sortir les personnages représentés sur les peintures pour aller voir passer les joueurs sur leurs bateaux : Très original, très bonne idée et très bien fait.
La chevauché sur la Seine : Très Très bien : visuel, symbolique, tout ce qu’il faut
Céline Dion : Absolument fantastique. La perfection pour interpréter Edith Piaf. C’est probablement l’image que je garderai de cette cérémonie d’ouverture
La vasque olympique : Grandiose
Condition de travail des journalistes, cachés sous de bâches (improvisées) : oserais-je dire « déplorable » ? Disons « triste »
Accueil des chefs de gouvernement et têtes couronnées, sous la pluie, avec leur protection à 5€ : Il y en a certainement beaucoup qui n’ont pas fort apprécié. Irrespectueux pour un état recevant autant d’hôtes de marque. Bien entendu la météo n’a pas été un cadeau, mais la pluie restait prévisible.

Bref : La finale a, je trouve, relevé le niveau global.

Quoi qu’il en soit : Je souhaite à toutes les nations de bons et fructueux jeux olympiques !!

Permettez-moi enfin de saisir cette occasion pour vous féliciter, et vous remercier pour « Le Gavroche » que je suis, et attends, chaque semaine avec beaucoup d’attention et d’impatience .

Respectueusement,

Les JO ne sont pas fait pour la provocation , ils sont faits pour l’union des peuples…ainsi, les guerres s’arrêtaient pendant cette période.
Le COJO a toujours lutté contre l’infiltration politique ; la France a trahi cette règle immuable . Politique jusqu’au bout des divers tableaux: insultes aux 37 monarchies mondiales, insulte au 1 milliard de chrétiens dans le monde. Mensonge aux spectateurs des quais de seine qui ont payé 500€ la place et n’ont vu que des bateaux défiler (aucun écran géant pour voir ce qui se passait à 1-3-5km d’eux ), pauvreté des tableaux chantés et dansés (Aya Nakamaura en playback), lasers blancs des années 70 , tour Eiffel sans mise en valeur. Statues de femmes féministes: quel lien avec l’olympisme? mise en avant d’individus “drag queens” qui sont des acteurs de petits cabarets parisiens à 50 places ! personnes bourrées d’hormones: en totale opposition avec le mouvement olympique qui organise des compétitions pour hommes et femmes et lutte contre le dopage.
On cherche encore l’aspect créatif, l’évocation de la france des sciences, des inventions, des arts, de la beauté et de l’élégance , des hautes technologies. Ne pouvait-on faire des projections sur les façades des monuments, des explosions de feux, un spectacle de drones si répandu désormais dans les grands évènements. Un bouquet final?
mes amis asiatiques se sont ennuyés , notamment pendant les 20min de glissade de la cavalière sur la seine (bonne idée, mais 5 min suffisait) et les interminables facéties des trans déguisés.
conclusion: petit show (non spectacle) décousu, sans imagination ni créativité française, glauque, vulgaire, violent donc anti-olympique. Bref qui restera dans les mémoires comme un échec total , un horrible “pet de none” . Déjà, les 3/4 de l’Afrique interdisent sa rediffusion (jamais vu!)
salutation
ps: et encore bravo pour votre ..satisfecit …ça en dit long sur votre esprit critique de journaliste .
vous êtes VRAIMENT décevants

Entièrement d’accord avec votre analyse : le spectacle était beau, original, mais la France a d’autres choses à montrer que cette partie sombre et violente de son passé.
Gérard Caucheteux dans les Hautes Alpes

Cérémonie des jeux, 100% wokisme pour casser les codes soi-disant , scénario et mise en scène conçu à l’Élysée probablement . Comment pourrait-il en être autrement . Quand notre président nous a dit, qu’il n’y a pas de culture française. Je comprends mieux cette cérémonie qui a dû être Censuré dans beaucoup de pays dans le monde. Que voulez-vous on arrête pas le déclin d’un pays qui avait un rayonnement dans le monde autre fois.
Cette cérémonie est à l’image de notre politique intérieure et extérieure.
Pauvre France où vas-tu ?

Bonjour
Puisque vous sollicitez l’avis de vos lecteurs, je vous donne le mien : Rien ne m’a choqué dans cette cérémonie. C’est une performance artistique sur ce qu’est la France, diverse, multiculturelle, parfois violente, évidemment révolutionnaire. Quant à tous ceux qui ont argumenté sur la tête coupée de Marie-Antoinette et le fait que cela ait pu choquer des enfants, je les invite à être très attentifs à ce qu’ils laissent regarder, notamment à la télé, mais aussi au cinéma, à ces chers bambins.
Cordialement
Pierre Noguer
Instituteur retraité

Samedi 27 juillet 2024, Alliance Française, un jeune étudiant chinois (16 ans) avec qui je converse ordinairement avant son cours (niveau B) de Français me parle des jeux olympiques. Je l’avais incité en guise d’exercice. Qu’en retenait-il ? Mon orgueil hexagonal fût piqué au vif lorsqu’il me fit part de son étonnement. Pas de climatisation à la cité olympique, me demanda t-il ! Décontenancé je lui lui expliquais que sous un climat d’influence océanique, la nécessité ne se faisait pas sentir, malgré, ajoutais-je, les manifestations, mais rarissimes, du réchauffement climatique. Croyant le débat clos, sur ce point, il consulta son portable et me dit que les prévisions annonçaient un minimum de 40 degrés pour le lendemain. Je feins l’étonnement, et du convenir d’une conjonction jusque là inconnue de facteurs climatiques négatifs ;
Mais la charge ne s’arrêta pas là. J’appris que les délégations olympiques devaient dormir sur des lits en cartons et forts étroits. Je commençais à vaciller et je me demandais dans quel pays les jeux se déroulaient ;;; Il me répondit que les jeux avaient lieu en France.
Après avoir repris mon souffle, nous passâmes à Lady Gaga, une icône de sa connaissance, moins de la mienne. Je cru que tout aller s’apaiser lorsqu’il me demanda si, en France, les femmes à barbe étaient nombreuses. Je lui répondit que je n’en avais jamais vu et que c’était peut-être un effet du changement climatique et des variations extrêmes des températures. Peu convaincu, la discussion finit par une question sur l’armée française. Les soldtas étaient-ils toujours dirigés par des femmes et noires et se trémoussaient-ils toujours en jouant de la flûte. Je lui répondis qu’il en était toujours ainsi. Il parut rassuré à l’idée d’un éventuel conflit entre les soldats de son pays et ceux qu’il avait entrevu et qu’il n’y avait pas de souci à se faire du côté de l’indo-pacfique…
Inquiet de savoir si son appétit pour la France et sa langue va rester intact et s’il sera au rendez vous samedi prochain.

Mme de Staël avait prévenu le tribunal révolutionnaire : “En l’immolant, vous la consacrez à jamais” ! 270 ans après la naissance de la princesse autrichienne, la dernière manifestation “gore” offerte au monde par la mairie de Paris et qui plus est sur le lieu de son cachot, semble confirmer la perspicacité de la prédiction.
La fascination qu’exerça la reine, l’ultime, fût sans limite, une reine condamnée, une femme adulée au point de déchainer toutes les passions et les haines qu’un être humain peut produire. Les “haines” que suscitent certains de nos gouvernants semblent faire écho. Les guillotines certes simulées sont toujours de sortie dans nos rues. Des effigies prennent la place du capétien.
Les biographies de l’illustre et décriée reine sont légion, celle, entre autres, d’Evelyne Lever, d’Antonia Fraser, celle de Simone Bertière intitulée “Marie-Antoinette, l’insoumise” … oui déjà ! Le cinéma aussi s’empara de la reine avec le film de Sofia Coppola en 2006 avec Kirsten Dunst dans le personnage et le premier en 1938 par le réalisateur américain W.S. van Dyke avec dans le personnage Norma Shearer.
La collection “Bouquins” (Ed R. laffont) à publié en 2006 un important volume dédié à la dernière des reines de France. Un ouvrage de 960 pages dirigé par Catriona Seth, intitulé : “Marie Antoinette” offrant à la fois une synthèse et une mise en perspective critique de l’abondante littérature en la matière. L’ouvrage comporte un essai introductif, une anthologie de textes et un dictionnaire de 250 articles sans compter de nombreuses annexes, chronologie, bibliographie et index.
La reine objet d’exécration, figure repoussoir pour les uns opposée à une figure de femme sacrifiée et sacralisée voire divinisée pour les autres a illustré toutes les passions pour ce personnage extraordinaire. La légende n’en finit pas de retentir et de hanter l’imaginaire et peut-être l’inconscient de chaque français. Le sang royal ne cesserait-il pas de retomber en gerbes écarlates sur sa mémoire comme celui du Christ sous la lance ? Les meurtres qui vous volent à la peau comme le sparadrap du fameux capitaine …
Dans l’infamie du simulacre de procès qu’endura la reine rien ne fût épargné à la reine. L’ouvrage en relate longuement les méandres, les détails et l’ignominie. Le roi échappa à ,l’opprobre suprême. Les réflexions sur le procès de la reine par Mme de staël précèdent les pièces. Les accusations portées, aussi contradictoires qu’elles apparaissent s’accumulent sur la femme suppliciée. Elles n’ont d’ailleurs aucune importance comme dans les procès staliniens. Les jeux sont faits avant de commencer : elle est à l’origine de la ruine du pays, ses dépenses, ses robes et ses dépenses considérables (çà sonne toujours contemporain !), elle organise la disette de 1789, elle est responsable de la journée du 10 aout, etc. le clou de cette crucifixion fût l’humiliation réunie dans la personne du dauphin et de sa mère. le fils qu’on arrache de ses bras, déjà moribond, dont on a forcé l’aveu ; Ce point d’orgue fût l’accusation d’inceste : “la veuve Capet, immorale sous tous les rapports, et nouvelle Agrippine, est si perverse et si familière avec tous ses crimes, qu’oubliant sa qualité de mère et la démarcation prescrite par les lois de la nature, elle n’a pas craint de se livrer avec Louis-Charles Capet, son fils, et de l’aveu de ce dernier, à des indécences dont l’idée et le nom seul font frémir d’horreur”.
Le Journal “Le père Duchesme” appelle au “raccourcissement de la louve autrichienne” et parsème ses éructions d’insinuations sexuelles ordurières, de références animalières, manies fort usitées naguère et aujourd’ hui pour détruire l’humanité de l’humain. Les prisonniers des camps nazis n’arrivaient à se distinguer de l’animal qu’avec la cuiller, objet sacré et précieux et seul bien, qui les distinguaient du chien qui lape sa soupe;
la sidération va un temps s’emparer de la France elle-même comme si la honte lui avait ôté la parole. On baiiasit les yeux quand le sujet était abordé. Le mutisme pouvait seul enrayer la panique à l’évocation sanglante, un moyen de se ranger du côté de l’humanité. Il fallut plusieurs décennies pour que le sujet Marie-Antoinette refasse surface, tantôt pour l’accabler du côté de l’historiographie révolutionnaire et républicaine ( Michelet, Mathiez) tantôt pour glorifier le personnage et la sanctifier (Barbey D’aurevilly et le texte inspiré, dans un style pré-célinien, de Léon Bloy écrit en 1891 “La chevalière de la mort”. Parmi tous les textes qui retiennent l’attention , la fameuse biographie de Stefan Zweig écrite en 1931, parue en France en 1933. Ce texte disponible sur internet et publié à la Pochotèque – avec 7 autres biographies- éd du livre de poche , 2014, pp 807 à 1254, est considéré comme une des meilleures biographies de l’auteur et mériterait davantage de développements…
Cet épisode terrible et sanglant de l’histoire de la France qu’une cérémonie d’ouverture des jeux olympiques exhume bizarrement ne va t-il pas, par une expression de la duplicité de l’histoire et de ses cheminements inattendus, contribuer à éloigner et conjurer tous les fanatismes à l’origine des tentations mortifères qui tenaillent l’humanité et réhabiliter cette femme que Stefan Zweig d'”ordinaire”. Acceptons en l’augure.
L’idée de supprimer la peine de mort est en France toute récente, la tentation de la voir ressurgir, ressurgit périodiquement… Les images des têtes sanglantes n’ont pas disparu, elles hantent, réelles et fictives, nos imaginaires et nos peurs hallucinées comme si nous n’arrivions pas à les exorciser, le réel se rappelant, sans crier gare, à nos terreurs.

Leon Bloy : “la chevalière de la mort ” publié en 1989, avec un avant propos de l’islamologue Louis Massignon:. Disponible sur le site de la bibliothèque nationale “Gallica”

Je me permets de revenir vers vous, car ce n’est pas qu’une fausse note, c’est un raté total.
Les Jeux olympiques sont avant tout le reflet du sport, toute génération confondues à travers le monde et ceci depuis la nuit des temps.
Qu’en est-il du passage de la flamme olympique qui malheureusement a été donnée à des personnes qui n’avaient rien à avoir, ni de près, ni de loin au sport.
Pourquoi n’a t-on pas fait en sorte que ce ne soit que des sportifs médaillés anciens et nouveaux, qui aurait dû avoir cet honneur
Quant au défilé une honte.
Comment le comité olympique a-t-il pu avoir ses idées saugrenue et totalement déplacé dans le contexte des jeux qui ont donné à la France une image totalement décadente n’est malheureusement que le reflet de ce que nous sommes actuellement
Avoir dépensé plus d’un milliard. 450 millions d’euros pour vouloir nettoyer une scène qui est depuis des siècles est polluée ce type d’action est une hérésie, une ineptie nous prendre pour des imbéciles et dépenser de l’argent que nous n’avons plus
Malheureusement nous sommes dirigés par une bande de fantoches et d’incapables .
La prestation de Céline Dion a été tout à fait magnifique encore une fois bien que la chanson n’était pas vraiment appropriée au sujet
Nous nous en enfonçons inexorablement vers le néant monétaire, et le gouffre est si profond que nous nous sommes pas prêts de le remonter.
Quelle tristesse

Bonjour,
Hé oui ! Vous l’avez parfaitement dit dans votre introduction : la France est une République moderne, audacieuse, diverse et évidemment provocatrice.
Bien loin des monarchies dépassées et compassée d’une partie du monde…
Bien à vous.
Bernard

Christian L Samui a tout dit. Peut-être un oubli, les Gardes Républicains qui gesticulent autour de Aya Nakamura, heureusement que le ridicule ne tue pas ! L’image que la France donne au monde est pitoyable !

Justement, une fausse note parmi tant d’autres ! Pourquoi pour illustrer cette période chaude de notre histoire, ne pas avoir choisi Gavroche, personnage que vous connaissez bien et qui illustre le courage et l’amour de la liberté qui, jusqu’à aujourd’hui, ont été les valeurs que les français ont le mieux incarnées ? Mais cette France de 2024 n’est plus la France dont j’étais si fière même si y vivre était difficile pour moi.

Ce genre de spectacle va t-il “booster” les inscriptions à l’alliance française ? Français je voudrais prendre langue avec vous !

Quoi de choquant, d’évoquer une page d’histoire sur un lieu d’histoire .

Ne partagez pas les propos détestables d’une extrême droite qui,de toute façon, devait trouver à critiquer. Ce sport si français du jamais content.

Merci de votre publication que je suis régulièrement sans en partager toutes les analyses.

Cordialement

Jflc

Bonsoir Gavroche !

Moi j’ai bien aimé.. j’ai regardé en léger différé puisque je voulais faire arrêt sur image pour envoyer des photos à ma famille et mes amis thaï… notamment de la délégation thaïlandaise dans son bateau. Je connais beaucoup de thaï qui voudraient venir en France alors ça me faisait plaisir de partager des photos de Paris avec eux… Donc quand je suis arrivée au drag queen , bin voyant rapidement le début du tableau dont on avait entendu parler… J’ai fait avance rapide pour ne pas regarder ce tableau… pour la conciergerie au début je n’ai pas compris et quand j’ai compris oui j’ai trouvé ça de mauvais goût de voir les 2 têtes quand j’ai compris… mais j’ai admiré la conciergerie qui venait d.être restaurée avec un ravalement superbe qui la mettait en valeur… j’ai bien aimé le parcours dans le Musée du Louvre qui cette fois était vide… Dommage pour les athlètes qu’il y a eu autant de pluie même si nous à la tv on ne s’en apercevait pas…

Moi mes thaïs à qui j’ai envoyé les photos ont été très contents ! Même un thaï qui vit aux usa !!

J’ai bien aimé la délégation thaïlandaise que j’ai bien photographié et filmée… c’etait super chouette qu’ils ignorent la pluie et aient autant le sourire et la joie d’être là faisait plaisir à voir…

Moi je vous avais envoyé un mail dimanche pour savoir dans quelles disciplines la Thaïlande concourt .. ici en France je ne sais pas où le savoir et les thaï avec qui je suis en contact par whatsapp n’en savent rien .. Mais pour en parler avec mon petit fils de 6 ans et l’encourager à faire du sport j’aimerais avoir ces informations… j’ai l’impression que les JO en Thaïlande .. non ce n’est pas leur actualité ..

Conclusion : Pouvez vous me trouver ces informations que je puisse les regarder… oui mon petit fils est franco thaï alors ça me ferait plaisir de pouvoir en parler avec lui…

Et oui ici en France toutes les chaînes de tv dissertent avec des plateaux d.’nvités divers et variés .. et tous les avis existent… on ne fera jamais l’unanimité.. mais bien courageux seront ceux qui se dévoueront pour faire un pareil spectacle pour une prochaine occasion… Le sondage officiel que vient de diffuser la chaîne France 5 c’est que 80% des français sondés ont trouvé la cérémonie très bien ..

D’avance merci si vous me trouvez l’information ou le mail / le site où je peux la trouver…

Merci pour votre Gavroche… je suis entre Cannes et Nice .. et j’aime beaucoup recevoir Gavroche .. un lien sympa pour savoir ce qui se passe en Thaïlande…

Sincères salutations

Annie Blanchet ..

Bonjour,

Merci pour votre journal, toujours apprécié.

Techniquement parlant je trouve que c’est un succès.

Sur le plan moral, historique, respect et rayonnement je pense que c’est une catastrophe voire un scandale. D’autant que la France n’a pas commencé en 1793, mais bien avant, et que la Révolution n’est pas la Terreur de Robespierre.
Quant au tableau de la Cène, c’est une insulte et un manque de respect pour tous les catholiques du monde. A quand l’identique vis à vis de Mahomet? Jamais, je l’espère, ne serait-ce que par respect pour les musulmans. Encore une preuve du deux poids deux mesures…

En résumé, cela ne m’étonne pas car une grande partie de nos dirigeants sont “wokes”, à commencer par le président qui s’exhibe éhontement, dans des attitudes déplacées.

Rendez-vous, raté.

Cordialement.

Oui je suis ! Même si nous râlons en permanence sur tout et n’importe quoi… On ne peut qu’être ébahi par la beauté du spectacle qui a été offert au monde et la plupart des téléspectateurs n’ont sans doute pas compris l’histoire de Marie Antoinette pas plus que celle de Dyonisos…
Par contre bien d’accord que la profusion de drag queens n’est pas un spectacle digne d’un tel événement !
Bien à vous !

La décapitation de Marie Antoinette fait partie de notre histoire. Le passage devant la Conciergerie devait y faire référence. Certes, aujourd’hui où l’on ne peut plus rien dire cela choque. Par contre cela n’offense en rien les monarchies en place aujourd’hui. Celle de la France d’avant 1789 n’était pas une monarchie parlementaire mais pouvait se comparer à une dictature.
Chaque pays choisit et vit son histoire.

Doit-on comprendre que l’on peut s’exprimer via votre adresse e-mail mais pas dans la rubrique “commentaires” ? Toutes sortes de suppositions si ce n’est supputations surgissent ! Tous les courriers seront-ils publiés ? Certains d’entre-eux ? lesquels ? Aucun ? Selon quel algorithme “gavrochien” ? Reproduire dans le mail qui vous est adressé le contenu du commentaire posté ? Perplexe !!!

Cette ouverture aurait pu être sublime, mais gâché par l’idéologie woke et LGBT… Le monde entier ne c’est pas trompé, entre les censures et la suppression des replay. Une reine innocente décapitée quelle horreur est envoyé à toutes les royautés du Monde. Une parodie de la Cène de Léonard de Vinci par des dragqueens, c’est l’injure ultime à tous les gens du “livre”. Et c’est ça que l’Histoire va retenir des JO de 2024. Qui a été le donneur d’ordre ? C’est ça la question.