C’est une véritable rafle d’opposants potentiels au régime chinois qui a eu lieu le 5 janvier à Hong Kong. Des Députés, des responsables politiques, des universitaires, le directeur d’un institut de sondage: plus de 50 personnes ont été interpellées au nom de la loi de sécurité nationale pour leur participation aux primaires démocrates de juillet.

Pour les autorités de Hong Kong, inféodées au pouvoir communiste de Pékin, ces arrestations sont justifiées par les actes de “subversion” envers les autorités.

Plusieurs quartiers généraux de médias et cabinets d’avocats ont été perquisitionnés.

Il s’agit de la rafle répressive la plus importante depuis l’adoption de la nouvelle loi sur la sécurité, dénoncée par tous les observateurs internationaux comme la preuve de la perte d’autonomie du territoire.

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