Les personnes qui “insultent” l’hymne national chinois peuvent désormais être emprisonnées pour une durée maximale de trois ans. Selon Amnesty International, l’adoption de ce projet de loi est un signe inquiétant pour l’avenir des droits humains à Hong Kong. Avec l’impitoyable loi sur la sécurité nationale chinoise qui se profile à l’horizon, les droits et libertés de la ville sont plus que jamais menacés.
Nous reproduisons une information d’Amnesty International
Les autorités de Hong Kong ont à nouveau insulté le droit à la liberté d’expression dans cette nouvelle tentative de criminaliser la dissidence pacifique.
Le droit des gens à exprimer leurs différents sentiments à l’égard des hymnes nationaux et autres symboles d’État est bien protégé par le droit international des droits humains. Les nombreuses dispositions subjectives de cette loi laissent la porte ouverte à une large interprétation et à des abus.
L’adoption de ce projet de loi est un signe inquiétant pour l’avenir des droits humains à Hong Kong. Avec l’impitoyable loi sur la sécurité nationale chinoise qui se profile à l’horizon, les droits et libertés de la ville sont plus que jamais menacés.