Nous reproduisons ici un extrait d’un article du New York Times
La Malaisie, pivot de la poussée d’influence de la Chine grâce à sa puissance économique, affirme avoir attiré des investissements de plusieurs milliards de dollars de la part d’entreprises telles que Texas Instruments et Lam Research, des États-Unis, et Alibaba et Geely, de Chine.
Avec le retour de M. Trump à la Maison Blanche, qui menace de perturber à nouveau le commerce mondial, la Malaisie espère pouvoir s’appuyer sur cette approche avec un plan visant à transformer sa pointe sud en une plaque tournante pour les multinationales à la recherche d’un havre de paix.
Cela implique un accord économique avec son voisin, Singapour, qui, historiquement, a parfois été plus un concurrent qu’un partenaire. Les responsables singapouriens sont eux aussi favorables à la coopération. Les négociateurs mettent la dernière main aux détails d’une zone économique spéciale en Malaisie, où les entreprises bénéficieront d’incitations financières pour construire des usines.
L’objectif est de donner aux multinationales basées à Singapour, ville-État insulaire située à la frontière sud de la Malaisie, l’espace et la main-d’œuvre dont elles ont besoin pour étendre leurs activités. La construction et l’investissement dans de nouvelles installations ont commencé cette année et les premiers ministres de Malaisie et de Singapour signeront un pacte final lorsqu’ils se rencontreront lors d’une retraite annuelle les 8 et 9 décembre.
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