A quoi bon laisser parler les urnes puisque d’autres moyens existent de s’arroger le pouvoir puis de le conserver ? Notre ami dessinateur Stephff n’a pas tardé à faire le lien entre l’élection présidentielle américaine et les aléas électoraux en Thaïlande. Dans le rôle du conseiller en chef de Donald Trump, furieux d’avoir perdu ? Le premier ministre Prayut prêt à offrir ses remèdes couleur kaki…
Le raccourci est évidemment douloureux. Jusque-là, les États-Unis n’ont connu que le bruit et la fureur de Trump. La démocratie américaine tient bon et le résultat des urnes devrait prévaloir.
Mais sait on jamais ? A force de voir les militaires lorgner vers le pouvoir, et l’emporter, nos libertés électorales vont-elles tenir ?
Un dessin pour réfléchir: voici le grand mérite de Stephff !
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