La plate forme Thai Enquirer ironise sur la non invitation du premier ministre thaïlandais au prochain sommet de la démocratie organisé par le président américain Joe Biden. Ce dernier réunira en décembre quelque 110 pays, mais pas la Chine, la Thaïlande ou le Vietnam. La semaine dernière, le Premier ministre Prayut Chan-ocha a fait l’éloge du président chinois à vie Xi Jinping, le qualifiant de « visionnaire ».
Thai Enquirer va plus loin. « Notre ministre des Affaires étrangères Don Pramudwinai a remercié les dieux de la diplomatie pour que la Thaïlande ne soit pas invitée au forum américain sur la démocratie » explique la plate forme.
Don a déclaré qu’il était heureux que nous n’ayons pas été invités à la table ronde démocratique de Joe Biden, car cela a évité au gouvernement de devoir décider s’il devait y aller ou non. De telles décisions, a-t-il dit, pourraient être une arme à double tranchant.
« Oh démocratie guidée, comme je t’aime ! » conclut Thai Enquirer
La démocratie a la mode américaine a un gout… euh amer…
Sauf que Taïwan n’est pas un État à part entière.
La Chine ne demande pas mieux que de trouver des “collaborateurs” pour mettre la main (de fer gantée de velours) sur le sud-est asiatique : que la Chine inspire Prayut ne peut guère surprendre.
Les USA sont des donneurs de leçons et feraient bien de regarder leurs propres problèmes ! Ils sont en train de devenir une puissance de second rang et politisent tout ce qu’ils peuvent pour agiter le monde. Peut être c’est une grande chance pour la paix en Thaïlande et au Vietnam s’ils restent très éloignés !!!!!!!
Parce les États-Unis sont un pays démocratique, ils font des guerres à chaque présidence et tue des millions de gens
Quoi de plus normal, comment pourrait-on parler de démocratie pour un pays dirigé par une junte militaire ?
Ça me parait normal, je vois pas trop ou est la démocratie dans ce pays !!!
hélas
cela laisse entendre que Biden soutient la dictature de la junte militaire ainsi que le coup d’état militaire passe.
Idem pour l’Europe qui ferme les yeux sur cette dictature d’un autre âge
Édouard