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THAÏLANDE – ÉCONOMIE: Les cinq familles thaïlandaises qui contrôlent le royaume sont…

Journaliste : Redaction
La source : Gavroche
Date de publication : 29/12/2019
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Ce n’est pas Gavroche qui le dit. Notre petit parisien n’a pas son pareil pour arpenter les rues de Bangkok ou d’ailleurs, mais lorsqu’il s’agit de gros sous et d’économie, nous regardons ce qui est publié par les médias de référence. Or voici un article qui mérite d’être porté à la connaissance de nos lecteurs. Il vient d’être publié sur le site d’information Asia Times en ligne, dont nous vous recommandons la lecture. Son sujet ? Les cinq plus riches familles qui contrôlent l’économie en Thaïlande. Et pas seulement l’économie…

 

Nous reproduisons ici un extrait d’un article paru sur le site d’information en ligne Asia Times dont nous vous recommandons la lecture ici.

 

Lorsque le Parti Palang Pracharat (PPRP), aligné sur l’armée en Thaïlande, a cherché à construire un coffre de guerre pour la campagne électorale des législatives du 24 mars 2019, les piliers du parti ont organisé un dîner de style chinois pour ses alliés les plus proches.

 

La soirée a attiré un who’s who de l’élite des affaires thaïlandaises, avec des représentants des cinq principales familles qui règnent sur le milieu des affaires dans le royaume. Ces familles, toutes sino-thaïlandaises, détiennent les conglomérats Charoen Pokphand (CP) Group, ThaiBev, King Power Group, Boonrawd Brewery et Central Group. Résultat de l’opération: 622 millions de bahts (22 millions de dollars) de donations pour les coffres du nouveau parti. Des dons d’entreprises que la Commission électorale a par la suite jugés supérieurs aux normes mais non-contraires aux règles ou règlements électoraux.

 

Vote populaire

 

Des mois plus tard, le PPRP a défié les attentes en remportant le vote populaire des élections du 24 mars, conduisant le maintien au pouvoir du Premier ministre Prayut Chan-ocha issu du coup d’État militaire de mai 2014.

 

Or ce statu quo, selon les critiques et les analystes, s’avère très favorable aux «cinq familles» du royaume – connues largement sous le nom de clans fondateurs du groupe CP, ThaiBev, Boonrawd, King Power et le groupe Central – au détriment des clans moins connectés.

 

La preuve ? Ces cinq groupes ont augmenté leur puissance et leurs bénéfices au cours du premier mandat de cinq ans de Prayut (2014-2019), profitant de ces circonstances favorables pour développer leur influence et leur chiffre d’affaires.

 

Un fossé béant

 

Mais au fur et à mesure que ces «cinq grandes» entreprises thaïlandaises se développent et prospèrent, les risques associés augmentent. L’économie ralentit. Les critiques de l’opposition se font plus dures. La question des inégalités remonte à la surface…

 

Au cœur de ces accusations: les concessions publiques récemment accordées aux «cinq géants» et les contrats gouvernementaux juteux donnent une crédibilité certaine, mais non-concluante, à la critique. Pour certains critiques et analystes, la preuve est faite que ces contrats constituent un remboursement des dons faits à la campagne électorale du PPRP…

 

La suite de cet article peut être lue (en anglais) sur le site d’Asia Times.

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