Agence immobilière, chasseur ou start-up ? Les professionnels de l’immobilier ne présentent pas forcément les mêmes atouts pour accompagner les expatriés dans un projet d’investissement immobilier. La preuve ici.
Acheter via une agence immobilière
En 2016, près de deux tiers des transactions ont été réalisées par le biais d’une agence immobilière en France. Avec plus de 100 000 professionnels recensés, les agents immobiliers disposent d’une importante force de frappe.
Plusieurs agences immobilières visent d’ailleurs directement la clientèle expatriée. Durant l’étape de recherche du bien, elles proposent de faire des rapports détaillés des visites qu’elles opèrent.
L’acheteur peut en plus s’assurer du bon état de son futur bien grâce aux informations transmises sur les potentiels défauts (forte consommation énergétique, amiante, plomb…). Depuis l’étranger, cela permet de faire au moins une pré-sélection, voire de choisir le bien sans se déplacer. Découvrez ici comment faire des économies en payant des frais d’agence.
Pour s’adapter aux besoins des expatriés qui souhaitent faire de leur achat un investissement, ces agences proposent en complément des services de gestion locative. Ainsi, elles se chargent de rechercher des locataires et du bon entretien du bien.
Cela limite également les déplacements nécessaires. Dans une grande agglomération comme Paris, le coût de la gestion locative représente en moyenne 12% des loyers perçus (avant potentielle défiscalisation).
Acheter via un « chasseur immobilier »
En France, la profession de chasseur immobilier a été officiellement reconnue en 2014 par la loi ALUR. Comme les agents immobiliers, ils ont le statut de profession immobilière réglementée et doivent désormais posséder une carte professionnelle et se doter d’une assurance responsabilité civile pour se prémunir en cas de litige.
Les cabinets de chasseurs d’appartements qui ciblent les expatriés mettent en avant leur capacité à prendre contact facilement avec eux. Les premiers échanges, l’évaluation du budget, le cahier des charges du bien recherché ou les comptes rendus de visites de biens peuvent en effet être réalisés par email, téléphone, Skype ou Whatsapp.
Une fois le bien trouvé, le chasseur de bien participe à la négociation du prix et continue à accompagner son client jusqu’à la signature chez le notaire. Toutefois, il n’est que rarement impliqué dans les démarches pour obtenir un prêt, ou dans la mise en location du bien.
Acheter via une start-up : My expat
My expat est une une start-up entièrement consacrée aux expatriés qui souhaitent réaliser un investissement locatif en France. La révolution numérique a changé un grand nombre de nos habitudes et le domaine de l’immobilier ne fait pas exception.
Avec la plateforme sécurisée développée par My expat, vous pouvez mener votre projet d’investissement du début à la fin, sans vous déplacer.
Les experts de My expat étudient d’abord votre situation personnelle et déterminent avec vous quelle stratégie de financement adopter. Débute ensuite la recherche de bien.
Via la plateforme, vous recevez des offres issues de notre réseau de partenaires (agences immobilières, chasseurs immobiliers…), ainsi que des informations techniques et visuelles pour chaque bien. Selon votre choix, vous pouvez faire une offre sur la plateforme et même signer le compromis de vente.
L’accompagnement se poursuit dans votre recherche de prêt. Ainsi, vous construisez votre dossier entièrement en ligne, tout en bénéficiant d’un suivi personnel.
Enfin, pour l’étape finale, vous pouvez vous faire représenter par nos experts qui signeront en votre nom chez le notaire. Grâce au numérique et à My expat, devenir propriétaire en France peut donc se faire sans difficultés à distance et ce à chaque étape de votre projet.
My expat – Immobilier pour Expatriés
54 rue de Paradis – 75010 Paris
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