La Thaïlande est sous le choc. La célèbre montagne de Phu Kradueng, un haut lieu du tourisme national, a dû fermer ses portes après qu’une touriste ait trouvé la mort, victime d’une attaque d’un éléphant sauvage.

C’est un drame qui vient ternir la réputation de ce parc national, réputé pour sa biodiversité et ses paysages époustouflants. L’animal, en période de rut et particulièrement agressif, a surpris la victime dans une zone fréquentée par les touristes.

Les autorités ont pris la décision de fermer le parc afin d’assurer la sécurité des visiteurs. Environ 700 personnes ont dû évacuer les lieux. Les rangers sont mobilisés pour éloigner les éléphants des zones fréquentées et tenter de rétablir un climat de sécurité.

Cette tragédie soulève de nombreuses questions sur la cohabitation entre l’homme et la nature dans les zones protégées. Comment concilier le développement du tourisme avec la préservation de la faune sauvage ? Comment prévenir ce type d’incident à l’avenir ?

Le directeur général du Département des parcs nationaux, Attapon Charoenchansa, a annoncé qu’il se rendrait sur place dès lundi pour évaluer la situation et mettre en place de nouvelles mesures de sécurité. Les experts devront trouver des solutions durables pour permettre aux touristes de profiter de la nature tout en minimisant les risques de confrontation avec les animaux sauvages.

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